Bonjour et merci d’accepter de répondre à ces quelques questions
Coucou, c’est moi qui te remercie de m’avoir sollicitée.
Comment as-tu commencé à écrire ? Qui te lisait au début ?
La rédaction de ce livre est le résultat d’un trop plein, d’un ras-le-bol et d’un coup de gueule à la fois ! À l’issue d’une énième rencontre « du troisième type », ma tête et mon cœur avaient besoin d’exploser, de se libérer de toutes leurs déceptions et le moyen le plus naturel pour exorciser cela a été de prendre la plume et de faire couler l’encre.
La première personne à avoir lu mon histoire est mon amie Cathy. À la base je n’étais pas du tout partie pour tenter une éventuelle publication mais plus une sorte de journal intime version humoristique que je comptais garder pour moi et faire lire un jour à mes enfants si d’aventure ils auraient une peine de cœur. Cathy a adoré et complètement adhéré à ce livre dans lequel elle s’est immédiatement reconnue. Sur ses bons conseils, j’ai tenté de me faire éditer puis tout s’est très vite enchaîné grâce à « Rebelle Editions ».
Quel est ton genre favori ?
J’affectionne beaucoup les livres témoignages, les romans chick-lit et les romans d’amour.
Quel est ton processus créatif ? Qu’arrive-t-il avant que tu ne t’asseyes à écrire ?
Concernant ce livre, il n’y a pas eu de processus créatif puisque celui-ci est basé sur mon expérience propre, je n’ai eu qu’à relater les faits.
À quelle personne es-tu le plus à l’aise : à la première ou à la troisième personne ?
Je suis plus à l’aise avec la première personne.
Quels écrivains admires-tu le plus ?
J’affectionne particulièrement les livres de Sophie Kinsella.
Qu’est-ce qui rend crédible un personnage ? Comment crées-tu les tiens ?
Comme évoqué précédemment, ce livre est tiré de ma propre histoire donc je n’ai pas eu à inventer des personnages, j’ai juste souhaité les renommer.
Au plus profond de ta motivation, pour qui écris-tu ?
Pour moi je l’avoue sans aucune gêne car cela me permet de m’extérioriser et de confronter mes expériences même les plus personnelles avec d’autres femmes et d’autres hommes qui se sont surement reconnus dans une de mes histoires. Toutefois, depuis la naissance de mon fils en décembre dernier, j’admets volontiers que c’est également un moyen, surement égoïste, d’espérer que mon fils soit un jour fier de dire que sa maman a écrit des livres.
Coucou, c’est moi qui te remercie de m’avoir sollicitée.
Comment as-tu commencé à écrire ? Qui te lisait au début ?
La rédaction de ce livre est le résultat d’un trop plein, d’un ras-le-bol et d’un coup de gueule à la fois ! À l’issue d’une énième rencontre « du troisième type », ma tête et mon cœur avaient besoin d’exploser, de se libérer de toutes leurs déceptions et le moyen le plus naturel pour exorciser cela a été de prendre la plume et de faire couler l’encre.
La première personne à avoir lu mon histoire est mon amie Cathy. À la base je n’étais pas du tout partie pour tenter une éventuelle publication mais plus une sorte de journal intime version humoristique que je comptais garder pour moi et faire lire un jour à mes enfants si d’aventure ils auraient une peine de cœur. Cathy a adoré et complètement adhéré à ce livre dans lequel elle s’est immédiatement reconnue. Sur ses bons conseils, j’ai tenté de me faire éditer puis tout s’est très vite enchaîné grâce à « Rebelle Editions ».
Quel est ton genre favori ?
J’affectionne beaucoup les livres témoignages, les romans chick-lit et les romans d’amour.
Quel est ton processus créatif ? Qu’arrive-t-il avant que tu ne t’asseyes à écrire ?
Concernant ce livre, il n’y a pas eu de processus créatif puisque celui-ci est basé sur mon expérience propre, je n’ai eu qu’à relater les faits.
À quelle personne es-tu le plus à l’aise : à la première ou à la troisième personne ?
Je suis plus à l’aise avec la première personne.
Quels écrivains admires-tu le plus ?
J’affectionne particulièrement les livres de Sophie Kinsella.
Qu’est-ce qui rend crédible un personnage ? Comment crées-tu les tiens ?
Comme évoqué précédemment, ce livre est tiré de ma propre histoire donc je n’ai pas eu à inventer des personnages, j’ai juste souhaité les renommer.
Au plus profond de ta motivation, pour qui écris-tu ?
Pour moi je l’avoue sans aucune gêne car cela me permet de m’extérioriser et de confronter mes expériences même les plus personnelles avec d’autres femmes et d’autres hommes qui se sont surement reconnus dans une de mes histoires. Toutefois, depuis la naissance de mon fils en décembre dernier, j’admets volontiers que c’est également un moyen, surement égoïste, d’espérer que mon fils soit un jour fier de dire que sa maman a écrit des livres.
Les avis (négatifs ou positifs) des lecteurs te servent-ils ?
Oui bien sûr, certains sont très flatteurs et me comblent de joie, d’autres moins et il est parfois difficile d’admettre la critique mais une fois la « mini-déception » passée, le moral reprend vite le dessus et je m’offre le luxe de forger ma plume de manière de ces critiques constructives.
Partages-tu tes projets d’écriture avec une personne de confiance afin d’avoir son opinion ?
Oui, une seule, mon amie Cathy.
T’imposes-tu une discipline, en termes de calendrier, d’objectifs etc. ?
Pas du tout, quand j’écris je n’ai pas de planning, pas de phase d’écriture imposée. Je peux me réveiller en pleine nuit parce que d’un coup d’un seul, j’ai une idée ! J’ai alors cette envie impérieuse de me lever sur le champ et de la coucher sur le papier avant qu’elle ne m’échappe. Je peux écrire pendant trois jours sans sortir et ne plus rien faire pendant des semaines.
De quoi t’entoures-tu quand tu écris pour favoriser ta concentration ?
Ma chienne Carma, d’un bon thé pomme-cannelle et des bonbons !
Écris-tu sur écran, imprimes-tu souvent, corriges-tu sur papier... ? Quel processus suis-tu ?
La nuit, j’écris sur cahier par flemmardise. Par contre la journée, j’écris principalement sur écran mais j’ai toujours un cahier, un crayon et des post-it à porter de main.
Pour la relecture finale, j’imprime effectivement sur papier.
Quelle a été ton expérience avec les maisons d’édition ?
J’avais adressé mon tapuscrit à cinq maisons d’édition, et j’ai reçu trois réponses positives. Puis, j’ai pris contact avec « Rebelle Editions » qui m’a tout de suite accueillie. « Rebelle Editions » ce n’est pas qu’une maison d’éditons, c’est plus que ça, c’est comme une grande famille dont je suis très fière de faire partie.
Sur quel projet travailles-tu en ce moment ?
C’est TOP SECRET :D
Le dernier mot est pour toi…
Je te remercie vivement pour ton intérêt et je remercie particulièrement tous les lecteurs qui me suivent et qui m’encouragent. Cette thérapie par l’écriture m’a été plus que salvatrice et je souhaite à tous de vivre un bonheur aussi grand qu’est le mien aujourd’hui, bises. Anna S.
Merci de t’être livrée à moi et aux lecteurs (acquis ou en devenir)
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